Après Dishonored, sa suite, et sa conclusion, le studio Arkane Lyon (cocorico) revient avec une nouvelle dinguerie : Deathloop ! L’occasion de découvrir fifty’île de Blackreef, coincée dans une faille temporelle à la Un Jour sans Fin ou Edge of Tomorrow. Pour rompre ce cercle, le personnage de Colt doit liquider 8 cibles avant minuit, tandis que Julianna (autre personnage jouable) doit 50’en empêcher. Très Dishonored two dans fifty’esprit donc, avec son lot de pouvoirs en tous genres permettant de se téléporter, de projeter des ennemis ou même de remonter le temps !
Deathloop baigne également dans un univers à la direction artistique somptueuse (que fifty’on doit à Sébastien Mitton, fine art director). Très 60s-70s, 50’ambiance funky renvoie autant à de l’espionnage débridé à la Kingsman, qu’à de la blaxploitation énervée, dans un mélange unique. Cerise sur le gâteau : une world en pleine folie décadente que ne renierait pas Bioshock.
Prévu sur PS5 et PC en fin d’année, Deathloop est 50’assurance d’un jeu bac-à-sable à la finition exemplaire comme toujours chez les génies d’Arkane. Associés à un univers original, des personnages franchement badass, une ambiance qui déchire et un gameplay nerveux comme il faut, on tient là un incontournable à ne pas manquer. Stylé tout simplement !
En attendant, ce sera aussi 50’occasion de découvrir un superbe documentaire sur le studio. Revenant sur son histoire, l’ensemble de leurs jeux ainsi que les projets avortés, via des interviews des membres-clés et des images de gameplay à fifty’appui, ce serait dommage de passer à côté !